Rendons hommage au dernier refuge des vrais conteurs, de ceux qui créent les mythes, l’Odyssée, les chevaliers de la table ronde et même plus proche de nous Batman ou encore Harry Potter, a ces bars, bistros qui nous manquent tant et que peuplent les aventuriers à l'arrache perdus....
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Le séparatisme générationnel ou le dilemme du tramway en temps de COVID
Quand le gouvernement pointe du doigt un prétendu séparatisme ethnique ou religieux, il tente de faire oublier que c’est un autre séparatisme qui guette la société avec la gestion de la crise sanitaire. Celui du séparatisme générationnel.
Une société est à l’arrêt, confinée, les libertés congelées aussi surement que le vaccin Pfizer, sans débat sur les mesures à prendre : une sanction collective pour protéger une frange de la population, les plus fragiles et les plus anciens. Il serait difficile et fort peu humain de les isoler, eux et seulement eux. Mais la société dans son ensemble est en train de perdre sens et de sacrifier l’avenir pour préserver des générations qui ont pour beaucoup déjà participé à obérer les chances pour les générations présentes et futures de connaître un avenir radieux.
Le débat est nécessaire pour trouver l’équilibre dans les mesures à prendre : quand le remède devient à terme pire que la maladie elle-même, il faut arrêter de s’entêter et réinterroger la stratégie !
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Exit 2020
Il en faut peu pour être heureux et les épreuves, ça permet de savourer un peu mieux les bons moments quand ils se présentent, alors pour paraphraser Herriot qui le disait pour la politique, on peut dire que la vie, ça doit être comme une andouillette, ça doit sentir la merde mais pas trop. Le problème c’est que 2020 a été une fosse septique à peine aromatisée à la charcuterie…
Depuis qu’un pangolin s’est enrhumé du côté de Wuhan, c’est le bordel et le monde entier s’est retrouvé alité, filmé en direct H 24 par les chaines d’info en continu façon Truman show.
Mais si 2020 était un film, pour de vrai ce serait le mélange improbable de Borat et de 28 jours plus tard, sans le côté horripilant du premier et ni le côté horrifique du deuxième.
Alors le pitch : A ma gauche, un virus inconnu et relativement dangereux, qui fait plier des systèmes de santé fatigués et à ma droite une espèce animale, homo sapiens, capable du pire comme du meilleur, capable du meilleur dans le pire et inversement. La grosse poilade 2020 ? c’est quand une partie de nos congénères ont aimé se croire résistant à l’oppresseur en restant dans leurs canapés, les ennemis de l’humanité en tremblent encore… Imaginez si en 40 les résistants avaient été de cette espèce…