La frugalité en toutes choses a ses vertus. C’est indéniable. Mais comme toutes les vertus, elle appelle le vice et l’excès. Les fêtes de fin d’année en sont le meilleur exemple possible dans tous les domaines possibles et inimaginables. Cette dernière formule n’est là que pour appâter le lecteur, qui derrière les mots possibles et inimaginables, entrevoit le stupre et la luxure pour se jeter avec avidité dans la gaudriole. Oui la frugalité en matière de bagatelle appelle le vice mais noël oblige, nous ne traiterons pas de l’histoire de cet homme ayant fait vœux de chasteté et se retrouvant coincé, un soir de tempête, dans un bar empli de succubes aussi attirantes que libres d’esprit. Non lecteur tu mérites mieux. Tu mérites une approche culinaire, une approche consommatrice de la frugalité. En un mot, tu mérites ce que tu es, le meilleur (que tu trouveras sur là ).
Donc nous disions que les fêtes de fin d’année sont assez symboliques de cette propension de l’Homme a relâché la pression d’une année vertueuse. Comme carnaval.