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sport

  • Médaille d'or du mime, Fair Play de Patrice Thibaud

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    Fair play, théatre, mime, sport, cornouaille, quimper, humour, thibaud, ladyblogueN’est pas mime qui veut, une partie de jeu de société sert à le démontrer facilement n’importe quel samedi soir. Mimer le sport, c’est encore autre chose et tenir en haleine un public pendant plus d’une heure une gageure sur cette seule thématique. Patrice Thibaud et son complice Philippe  Leygnac réussissent ce tour-là et emportent la médaille d’or, sans contestation aucune et sous les ovations d’un public conquis.

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  • Chronique d'un néo-breton,épisode 19 : que faire le weekend au bout du monde (et accessoirement en soirée, jours fériés et autres temps dits libres)?

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    Chronique, humour, néo-breton, fest noz, sport, alcoolisme loisirs, Si le néo-breton s’est mis au jardinage, il doit bien avouer que la corvée n’occupe guère, fort heureusement, l’intégralité de son temps libre. Il reste assez de place pour faire mille choses qui feront que l’être humain parviendra à finir lessivé et profitera allégrement de sa semaine de travail pour se retaper. A ce point, le chroniqueur arrête tout de suite les mauvaises langues qui imputeraient à la réputation partiellement fondée d’alcooliques invétérés que détiennent les bretons pour justifier cet état de délabrement post-weekend. Primo, le breton boit également en semaine, car la sagesse populaire le précise, l’alcool, c’est comme le formol, ça préserve les chairs, deuzio, la réputation est usurpée, le breton ne boit pas plus qu’un autre, la différence, c’est qu’il l’assume, nuance dont il peut être fier.

    Mais avouons-le sans détour, l’autochtone a le sens de la fête, chaque occasion est bonne pour se retrouver ensemble autour du collectif, de la musique, de la danse et bien entendu, une petite bolée de cidre. Du Fest-noz au Fest-deiz (sur lesquels nous reviendrons dans une prochaine chronique), du festival de l’élevage au festival des Vieilles Charrues, il n’y a pas un weekend, un pont, où la fête n’est pas à l’honneur dans un rayon de trente kilomètres. 

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  • Les résolutions se ramassent à la pelle

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    Souvenez-vous, c’était il y a quelques jours, à la toute fin de l’année dernière pour être précis… Bon, je vous l’accorde, pour l’Homme du 21ème siècle, gavé d’infos en continu, pour qui l’actualité se périme en deux minutes, c’est une éternité…

    Je vous aide, un indice en bas de l’écran s’affiche (si vous avez regardé, consultez !)…Allez, je vous le livre sans plus attendre, ce sont les résolutions pour la nouvelle année. Dans un inventaire à la Prévert, on peut citer le récurrent j’arrête de fumer et son frère jumeau de fin de réveillon nauséeux, j’arrête de boire, le très sérieux et altruiste cette année, je m’investis pour les autres et en particulier les plus faibles, l’athlétique je me bouge et je vais (au choix) à la piscine, courir, à la salle de sport, le pieux et moral à compter de ce jour je ne serai que bonté, l’ambitieux je vais casser la baraque au boulot ou encore le courageux, j’emmerde les cons, je plaque tout…

    Après quelques jours, vous avez enlevé le patch et repris quelques cigarettes, vous n’avez pas résisté au verre de Bourgogne lors du dernier apéro improvisé avec les potes, les courbatures, le froid et la pluie ont eu raison de votre motivation à avaler les kilomètres de bitume, et les quelques jours de vacances à Noël vous ont tout au plus reposé mais certainement pas réconcilié avec votre boulot…

    Ce n’est pas grave docteur, le cimetière des bonnes résolutions se remplit fidèlement chaque année des cadavres de nos promesses éthyliques, lancées à la volée de la surenchère amicale.

     Cependant, quelques-unes seront tenues, diminuant d’autant votre palette de bonnes résolutions à tenir pour l’année prochaine mais vous permettant de rendre jaloux et de forcer l’admiration de vos amis devant votre ténacité et votre persévérance. Vous ne leur direz pas, cela va sans dire, que vous fumez en cachette ou que vous ne courez qu’une fois par mois en fait…

    Et le lecteur se demande à juste titre ce que le chroniqueur s’était promis et n’a pas tenu bien longtemps : c’est très simple, il s’était résolu à ne plus interpeller directement le lecteur dans sa chronique…

     

    http://www.lepost.fr/article/2011/01/12/2368093_qui-se-ramassent-deja-a-la-pelle.html