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  • Chroniques d’un jeune parent, des petits et grands bonheurs d'être parent...première partie

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    chronique, parent, echographie, bonheur, humour, monsieur patateDevenir parents, on peut s’y préparer de mille façons, il n’en reste pas moins que les surprises sont multiples, inattendues et parfois rafraichissantes. Oui, c’est dur, sans conteste le quotidien ne pourra plus être ce qu’il était, et non la fatigue ne disparaîtra pas du jour au lendemain… mais vous êtes largement payés en retour. Mais payés de quoi ? C’est indescriptible, ne m’en demandez pas plus… et sachez qu’il est préférable ne pas entrer dans cette logique comptable pour compter les points. Avoir des enfants et faire usage de sa raison de consommateur ne font pas bon ménage, l’individu se jetant plus facilement sur le dernier Iphone que sur le premier paquet de couche venu. Pourtant s’il devait rester un argument pour les plus égoïstes et cyniques de nos congénères il faudrait se rappeler celui-ci : il faudra bien quelqu’un pour venir nous voir dans nos vieux jours et quoi de plus sûr que sa propre progéniture qui viendra vérifier que l’héritage à venir n’est pas trop dilapidé…

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  • De l'avantage des digicodes en milieu hostile...

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    digicode, témoins de jéhovah, humourÇa ne loupe pas. Invariablement, tous les deux trois mois, la sonnette retentit dans la maison et ce n’est ni le facteur, ni  votre conjoint qui a oublié ses clés et encore moins une visite impromptue d’amis, qui au demeurant n’existe plus dans nos sociétés gavées de nouvelles technologies, le SMS ayant remplacé l’effet surprise (T LA ? - OUI – OK JE PASS’).

    Je me précipite vers la porte, l’ouvre et là, deux êtres souriants me disent bonjour, avec à la main quelque chose qui les identifie immédiatement : la « Tour de Garde », le magazine des témoins de Jéhovah. Je me fais la réflexion qu’ils vont toujours par deux, comme les mormons. Et de tout une autre tripotée de vendeurs de rêve d’ici-bas et de salut de l’âme post-mortem.


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  • De la banalité du panurgisme et autres considérations ovinesques…

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    humour, chronique, mouton, panurgisme, sociologie, mass média, orwellNe vous est-il jamais arrivé, après une discussion entre amis, de ressortir gonflé à bloc, convaincu d’être du bon côté et dans le vrai à propos de votre système de pensée. Cela fait un bien fou non ?

    A contrario, il n’est pas rare que vous vous sentiez mal à l’aise au gré d’une conversation sans pour autant montrer votre désaccord, de peur de vous sentir exclu d’un groupe.

    Tout va bien, vous êtes banalement et terriblement humain. Vous êtes comme l’immense majorité de la population un mouton de panurge !

    Sans cette banalité de l’esprit moutonnier, réel ou camouflé, l’humanité ne serait capable ni du meilleur, ni du pire ! 

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  • Chronique d'un néo-breton,épisode 27 : du marché du travail en Armorique

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    bretagne, économie, henaff, minitel, pêche, eurodiff, travailLa Bretagne pourrait être un paradis sur terre, mais soyons honnête, tout n’y est pas aussi rose que la côte de granit de Perros-Guirec. L’actualité économique de ces derniers temps n’est pas des plus joyeuses, en dépit de la belle publicité pour la marinière d’Armor-Lux réalisée à peu de frais avec la complicité d’un ministre qui aimerait redresser ce qui doit l’être…En effet, Doux et PSA sont là pour rappeler que la Bretagne n’échappe pas au rouleau compresseur de la crise qui sévit depuis déjà 2008.  

    Pour commencer, rappelons que l’accès au marché du travail local n’est pas un long fleuve tranquille. La recherche d’emploi peut être compliqué, notamment par un niveau de poste très éloigné de ce qui peut être proposé à Paris, qui ne correspond pas toujours à ses propres qualifications le tout accentué par phénomène de faible turn over, le breton restant accroché à son bout de terre, et donc à son poste comme un bernique sur son  rocher. Au final le marché de l’emploi est peu ouvert. On ne vient donc pas en Bretagne pour faire carrière comme on le ferait dans la ville lumière. Et si l’on n’abandonne pas totalement ses ambitions en venant vivre dans la péninsule armoricaine, elles ne peuvent plus être seulement professionnelles et doivent se conjuguer nécessairement avec l’aspiration à un mieux vivre d’ordre privé.

    La loi, qui s’apparente à une malédiction, qui sévit pour les couples qui font le grand saut en province se vérifie en Bretagne : l’un des deux aura le bon poste, le plus souvent l’homme, tandis que l’autre, le plus souvent madame par voie de conséquence, ne trouvera qu’un emploi moins qualifié, et même moins rémunérateur que l’allocation chômage calculé sur le salaire du précédent job... Sur l’autel des sacrifices, la parité n’est pas respectée en la matière et les réseaux/associations de femmes trentenaires, à haut niveau de qualification, avec enfants, ayant abandonné un poste important pour suivre leur mari et se retrouvant sur le carreau connaissent un succès dont elles se passeraient bien…

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