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Manuel de survie

  • to paint or not to paint...

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    peinture, travaux, valérie damido, bretagne, beau temps, enduire, conseils, bricolageOn ne naît pas peintre, on le devient, est un adage qui sied fort justement quand la peinture s’applique à des travaux de rénovation de son intérieur. La petite chronique que voici vous le prouvera par l’exemple.

    Dans une ambiance  de relâchement estival, le breton prévoit des travaux d’intérieur. Il prépare le chantier patiemment dans les semaines précédant ses congés. Une fois ces derniers arrivés, il ne peut plus reculer… et patatras, un temps magnifique, presque caniculaire s’est installé en plein mois de juillet… c’est rageant, lui qui prévoyait ce fin crachin si caractéristique de la péninsule armoricaine, source d’une justification à rester cloîtrer chez soi, avec une couverture et une tasse de café en plein mois de juillet… Mais comme la suite de la chronique va le démontrer, ce superbe temps va être un allié précieux… Mais commençons par le commencement, ce qui ne sera pas sans nous aider précieusement à ne pas perdre le fil de la pensée embrumée de l’auteur qu’un vieux fond de peinture acrylique met à mal (oui, il restait un vieux fond dans un vieux pot, c’était mieux de le terminer que de le jeter, donc oui je plaide coupable, tout n’est pas à la peinture à l’eau mais SVP, ne me dénoncez pas auprès du ministère de l’environnement…).

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  • Chroniques d'un jeune parent, comment se refiler perpétuellement des microbes, part 2, la valse des poux

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    chronique, humour, maladie enfantile, pou, doliprane, otiteParmi les constantes que l’on retrouve durant la convalescence de l’enfant, il y a le sentiment parfois assez désagréable que le médecin se fout légèrement de votre gueule quand vous lui amenez votre gamin, vous posant des questions comme si vous étiez un demeuré. Etes-vous certain qu’il a de la fièvre, que ces selles étaient molles…comme une envie de lui mettre le thermomètre dans le fondement et la couche sur la tête… 

    Une fois passée cette difficile épreuve avec le corps médical, l’étape du traitement peut à son tour devenir une route dangereuse pour l’intégrité vestimentaire des parents. Donner un médicament n’est pas toujours une sinécure. Si le Doliprane pour bébé et enfant se parfume pour leurrer le petit d’Homme, avouons que certains antibiotiques et autres sirops sont particulièrement désagréables au goût pour ne pas dire franchement déguelasse et qu’un enfant ne comprend pas que ce truc dégoutant va lui faire le plus grand bien… Il faudra donc forcer l’enfant à prendre sa dose à la manière d’une oie que l’on gave en utilisant toute la palette possible de dérivatifs propres à porter l’attention de l’enfant sur toute autre chose que le goût repoussant d’un médicament : être parent c’est rarement avoir le beau rôle…

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  • Chroniques d’un jeune parent, comment se refiler perpétuellement des microbes, part one

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    Chronique, humour, parentalité, maladie, microbe, gastro entérite, otiteAvant d’être parent, vous pétiez le feu, une santé d’enfer, capable d’enchaîner nuit de fête et dure journée de labeur… Depuis l’arrivée du ou des divines enfants, vous tombez au premier rhume qui passe devant vous… Du Capitole à la Roche Tarpéienne il n’y a qu’un pas et vous le constatez chaque jour… La paternité et la maternité emportent comme conséquence une fatigue généralisée qui met le système immunitaire à l’épreuve, sans compter que les enfants, en mode collectif, sont un réservoir perpétuel à microbes…

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  • chroniques d'un jeune parent, des petits et grands bonheurs d'être parent deuxième partie

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    Arrive le temps de l’accouchement. Rendons gloire à la femme en cet instant pour cette épreuve terrible à plusieurs titres. Non seulement la femme souffre, mais elle va subir pendant quelques mois encore les conséquences de sa grossesse. Certaines ne s’en remettront pas, conservant définitivement un physique de maman sans jamais parvenir à retrouver un corps de femme fatale. La vie est cruelle, l’homme pourra se permettre pour sa part une petite bedaine sans subir le déclassement et l’infamie… Pourtant, ce qui compte en cet instant, c’est le bonheur de sentir le petit d’Homme contre soi, sentir ses doigts frêles et minuscules vous attraper par hasard la main. La machine à larmes se remet en marche, encore et encore. On accueille une nouvelle vie, il y a un je ne sais quoi de magique. Il y a de la joie, il y a de la spontanéité et aussi de la gravité. On devient responsable pas seulement de soi mais, et c’est plus lourd de conséquence, d’un autre individu. Et il y a un peu d’horreur également. Un accouchement a beau être aseptisé de nos jours, le sang, le cordon à couper et le placenta qui se retrouve dans une écuelle, c’est une épreuve à surmonter dans la vie d’un couple. On ne sort pas totalement indemne de ce genre d’événements, du moins à court terme. 

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  • Chroniques d’un jeune parent, des petits et grands bonheurs d'être parent...première partie

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    chronique, parent, echographie, bonheur, humour, monsieur patateDevenir parents, on peut s’y préparer de mille façons, il n’en reste pas moins que les surprises sont multiples, inattendues et parfois rafraichissantes. Oui, c’est dur, sans conteste le quotidien ne pourra plus être ce qu’il était, et non la fatigue ne disparaîtra pas du jour au lendemain… mais vous êtes largement payés en retour. Mais payés de quoi ? C’est indescriptible, ne m’en demandez pas plus… et sachez qu’il est préférable ne pas entrer dans cette logique comptable pour compter les points. Avoir des enfants et faire usage de sa raison de consommateur ne font pas bon ménage, l’individu se jetant plus facilement sur le dernier Iphone que sur le premier paquet de couche venu. Pourtant s’il devait rester un argument pour les plus égoïstes et cyniques de nos congénères il faudrait se rappeler celui-ci : il faudra bien quelqu’un pour venir nous voir dans nos vieux jours et quoi de plus sûr que sa propre progéniture qui viendra vérifier que l’héritage à venir n’est pas trop dilapidé…

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