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chronique - Page 9

  • Abraham Lincoln chasseur de vampire ou l’Histoire à la mode Hollywood

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    chronique, humour, histoire, lincoln, chasseur de vampire, cinéma, confusion mentale, danger, transformersLa connaissance de l’Histoire est de plus en plus réduite, la frontière entre fiction et réalité s’amenuise, laissant la porte ouverte à l’inculture crasse, propre à faire vivre un révisionnisme qui n’attend que cela. La récente publication d’un sondage sur la non-connaissance par la majorité des moins de 35 ans de ce qui s’est passé au Vel d’Hiv en constituant une preuve éclatante.chronique, humour, histoire, lincoln, chasseur de vampire, cinéma, confusion mentale, danger, transformers

    Surfant sur le succès des films de vampires, zombies et autres créatures de l’ombre, Hollywood adapte le roman d’un écrivain qui n’en est pas à son coup d’essai, après avoir commis un « orgueil et préjugés et zombies ».

    La liberté avec l’Histoire, en mêlant science-fiction, effets spéciaux, personnages et événements historiques va en s’accentuant. Dans Transformers 3, le spectateur découvrait que la mission Apollo n’avait eu comme but que la seule recherche d’une épave d’un vaisseau extraterrestre, qui se serait crashé sur la face cachée de la Lune…expliquant l’arrêt des missions une fois le but atteint…

    Dans Abraham Lincoln le chasseur de vampires, nous apprenons que le vainqueur de la guerre de Secession, en plus d’être un héros politique américain, treizième Président des USA, aurait eu une petite carrière de chasseur de vampire… Un scénario imparable qui relèvera un peu plus le niveau de culture générale et alimentera dans quelques années le bêtisier des perles du bac et autres examens du monde entier…

    Dans quelques années, on découvrira les vraies raisons de la mort de JFK (un coup du Pingouin?), du fauteuil roulant de Roosevelt (une bataille contre l'armée des ombres au côté de Jésus et Zeus)...

    La France, berceau du 7ème art, n’a-t-elle pas une carte à jouer pour relancer sa production cinématographique ? Ainsi un Napoléon contre les Loups-Garous, un de Gaulle contre Belzébuth, ou encore le rouge et le noir dans la quatrième dimension n’auraient-ils pas de la gueule ?

    La confusion des genres, sous le seul prétexte du spectacle, est le signe qu’il y a quelque chose de pourri au royaume du cinéma et de la société… Espérons que le genre va s’essouffler et que nous n’aurons pas à vivre l’effroi d’un Hitler contre Batman qui ne ferait réagir personne… Là, il sera trop tard, la gangrène aura attaqué tout le corps de la civilisation… Et ni les Transformers, ni Abraham Lincoln ne viendront sauver l’humanité… 

     

    PS : La mythologie avait pour fonction d'expliquer le monde...Il faut croire que les explications rationnelles, scientifiques, historiques ne suffisent pas, et que le cinéma constitue le nouvel Homère, tendance Simpson...

  • chronique d'un néo-breton, épisode 21 : c'est quoi avoir le pied marin, 2ème partie

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    Chronique, humour, bretagne, mer, tonnerre de brest, douarnenez, voilier, phobieLes tonnerres de Brest et Temps fête à Douarnenez à peine achevés, le néo-breton ne pouvait pas ne pas faire une ode au monde maritime en général et à la voile en particulier, même si elle se fera en prose.

     Si le sud-ouest est connu pour ses férias, les fêtes maritimes des côtes bretonnes valent le détour et peuvent, sans rougir, soutenir la comparaison avec les fiestas des pays méditerranéens.

     

    S’il paraît difficile de se baigner dans l’océan du fait de la température glaciale, si la côté découpée et la marée empêchent parfois de se poser sur un coin de plage avec une serviette pour pratiquer ce que le vacancier chanceux en matière météorologique nomme une petite bronzette, les 1100 kilomètres de côtes qui composent le littoral breton (le double en incluant les îles) sont une invitation à lever l’ancre et mettre les voiles. De 7 à 77 ans (et même un peu avant et un peu après), les jeux marins font le bonheur des uns et des autres. Il y a toujours dans son entourage un copain ou le copain d’un copain qui a un plan pour vous faire monter sur un bateau. Ou une planche à voile, ou un surf ou un kayak….Sans parler de la possibilité, en intégrant un club, de pratiquer un sport nautique contre une somme presque modique, et que la privation momentanée d’un ou deux plaisirs inutiles peut facilement offrir.

     

    Ce qui constitue un frein à la pratique elle-même, c’est tout simplement…la peur…car la mer qu’on voit danser le long des golfes clairs, la mer, est pleine de mystère et ne s’offre pas si facilement au premier venu. Ne pas savoir ce qu’il y a sous ses pieds constitue une peur profonde de l’humanité. Les monstres marins n’existent plus depuis belle lurette mais n’empêche, sur un bateau, le doute reste permis. Quoiqu’on en dise, les dents de la mer ont laissé des traces en dépit de la probabilité quasi-nulle de rencontrer un grand requin blanc dans les eaux de l’Atlantique Nord-Est. La statistique est implacable : vous vous ferez renverser des centaines de milliers de fois par une voiture avant qu’un méchant squale vous tâte de la cuisse le long des côtes bretonnes.

     Pour l’auteur de ces lignes, la phobie est moins avouable bien que plus courante. Elle tient aux petits poissons insidieux et aux algues, gluantes, qui passent entre les jambes, sans aucun respect de l’intimité de sa personne. Ça fait flipper de ne pas savoir ce qui nous tourne autour…

    Qu’on se le dise, on ne naît pas marin, on le devient à moins d’avoir été jeté à l’eau dès le plus jeune âge. Mais pour dépasser sa peur, il n’y a pas une technique en particulier : on peut y aller progressivement ou se jeter à l’eau d’un coup. Question de feeling…

     

    Autre interrogation ? Faut-il commencer par un frêle esquif ou taper tout de suite dans un fameux trois mats, hissez haut, Santiano ? Là encore, question de tempérament…et de possibilité : il ne faudrait pas faire la fine bouche et voir passer le train, du moins le bateau, sous les yeux à force d’hésiter.

     

    Mais avant même de choisir et de monter sur un bateau, quelques conseils vestimentaires préalables ne peuvent être que les bienvenus…

     

    À suivre

  • La plus grande scène du monde

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    Chronique, humour, bar-tabac-PMU, avignon, Dans la torpeur du croisement entre juilletistes et aoutiens, il est un lieu dans lequel se trouve réuni tous les ingrédients d’un festival qui mêle théâtre, musique, sport, culture, inculture et j’en passe. La rencontre du one-man show et de la dramaturgie qui met Avignon à des années lumières de la branchitude.

    Pourtant, on le dédaigne, on l’oublie, quand on ne l’attaque pas honteusement! Ouvert toute l’année, cette agora injustement méconnue reste pourtant le dernier lieu de la création pure, où l’imaginaire se frotte à une réalité difficile. C’est le dernier refuge des vrais conteurs, de ceux qui créent les mythes, l’Odyssée, la Chanson de Rolland et même plus proche de nous Batman ou encore Superman. Je veux bien entendu parler du Bar-Tabac-PMU. Attention, entendons-nous, je ne parle pas de la brasserie guindée mais bien du seul, de l’unique, de l’indispensable bistro ! Celui qui sent fort la sueur, la friteuse et le pastis renversé, parfois relevé de néons qui piquent les yeux !

    Là, vous trouverez des analystes politiques, sportifs… Mais aussi des acteurs brillants qui s’ignorent, des aventuriers perdus, une galerie étoffée de personnages aussi bizarres qu’attachants.

    Installez-vous tranquillement, un journal à la main -vous comprendrez le pourquoi du comment plus loin- si possible l’Equipe ou le parisien (ou Ouest-France, la Voix du Nord, les DNA, selon votre situation géographique), commandez un café (ou ce qui vous tentera, selon votre humeur, l’heure ou toute autre cause) et laissez la magie s’opérer sous vos yeux.

    Devant votre regard ébahi, la scène va s’animer, avec le tenancier jouant le rôle de Monsieur Loyal.

    Au comptoir, Dédé et Momo refont le match, transformant ce qui avait constitué une banale, pour ne pas dire une piètre partie de football en une geste épique, presque mythologique. Je te le dis moi, comme je le pense, si j’avais été sur le terrain, ça ne se serait pas passé comme ça ! Tu me donnes même pas un quart ce qu’ils gagnent et j’explose tout. Prendre autant d’argent pour jouer comme une chèvre, je peux le faire aussi pour des clopinettes ! Pas vrai Momo ? Dédé, c’est pas si facile que ça, tu le sais. Puis j’aimerais t’y voir sur le terrain, je te donne pas deux minutes ! T’entends ça Riton, il me connaît pas Momo, il m’a pas connu à la grande époque, j’ai failli être professionnel, y avait des recruteurs, mais je suis passé à coté, j’avais passé la nuit en boîte la veille, pour essayer de me faire Sandrine, tu sais, celle qui est caissière. Oui, à l’époque, elle était jolie, comme je te le dis…Maintenant, faudrait me payer, mais à l’époque…Dédé a des trémolos dans la voix, Momo comprend qu’un destin a basculé lors de cette sinistre soirée et Riton, le tenancier souffle de dépit, Dédé raconte cette histoire trois fois par jour, même quand le sujet ne s’y prête pas. Pourtant, il y a fort à parier que les mythes sont nés dans les auberges et les tavernes, d’une histoire banale que la répétition, l’alcool et le besoin de l’homme d’enjoliver les faits autant que celui de se donner du sens ont transformée en une légende qui continuera à traverser les siècles.

     

    Après cette belle entrée en matière, vous ouvrez subtilement votre journal, pour bien montrer la une à l’assemblée. Avec cette technique infaillible, vous attraperez de l’analyste de comptoir à tous les coups. D’ailleurs, il s’en présente un, il va chercher à attirer votre attention en commentant avec une voix d’appeau ce que lui inspire cette une. Il cherche le dialogue, c’est à vous de jouer. Il commence, Mais dans quel monde vit-on ? Et là, il va déployer son argumentaire, seulement perturbé par cette phrase magique, Riton, tu me remets la même et serre le monsieur, il sèche sur pied. Bientôt rejoint par d’autres analystes tout aussi pertinents qu’imbibés, vous vous retrouverez sans y prendre garde au milieu d’une joute verbale de haut vol, qui vous rappellera qu’il y a 2500 ans, Platon, Aristote et toute la clique n’ont pas procédé différemment pour écrire les plus belles pages de la philosophie (si si relisez le banquet on y disserte en buvant et mangeant comme des soulards de caserne !)

     

    Toujours dans ce temple de la civilisation, vous découvrirez, si celui-ci est un dépositaire officiel du Pari Mutuel Urbain, l’approche scientifique et le génie humain en action. Ne souriez pas, les paris sur courses hippiques, le tiercé, quarté, quinté sont ce qu’il y a de plus sérieux après le loto sportif. Pour trouver la combinaison gagnante, c’est un savant mélange d’études de terrains, de performances passées des équidés, de renseignements sur les conditions atmosphériques du jour qu’il sera nécessaire de réaliser. Pour faciliter la tache du parieur, la presse spécialisée édite des journaux dédiés dans lesquels se succèdent des tableaux que le béotien regarde avec mystère. Vous y lirez des statistiques, où tout ce dont vous avez besoin est scrupuleusement consigné. La lecture attentive et collective de ces trésors donne lieu à de sévères échanges entre les pratiquants à coup de démonstration d’équations largement éprouvées par le succès ou l’échec des uns et des autres. Réunis autour de la même passion, les amateurs de course la regarderont ensemble, exulteront, pleureront et passeront la maigre récompense dans une tournée générale mémorable dont on parlera encore lorsque le cheval sera dans l’assiette.

     

    Petit bémol pourtant dans cet univers où le jeu rassemble les hommes : l’introduction, il y a quelques années du Rapido, une sorte de loto continu, visualisé sur un écran. Le joueur valide ses grilles et attend les résultats en sirotant tristement un demi ou un ballon de blanc. Captés par l’écran et la promesse d’une richesse immédiate, les hommes ne se parlent plus. C’est moche mais ainsi va la civilisation et le progrès. Le Rapido, c’est le Sudoku sur Iphone du pauvre.

     

    Toutes ces scènes, cette vie riche, se passent en bas de chez vous, de votre bureau. Ne laissons pas ces lieux de la création périr, rejoignons les, participons aux débats, analysons, commentons, rassemblons les intelligences. Un seul mot d’ordre tous au café !

     

    Une dernière précision, ou plutôt une question en forme de conclusion : est-il besoin de s’alcooliser pour apprécier ce lieu ?. La réponse n’est pas facile et les avis divergent. On peut valablement, comme spectateur, se contenter d’un café, d’un soda ou d’une autre boisson insipide. Au contraire, l’esprit clair permettra de saisir les subtilités du débat dans toutes ses dimensions.

    La réponse est différente si vous cherchez à percer et vous faire un nom dans ce milieu, en devenant acteur. Le ballon de blanc déliera plus facilement le discours, ira chercher plus loin dans l’inconscient les ressources nécessaires à votre réussite comme personnage. Il n’est pas utile de commencer au calva à 8 heures du matin, mais le pot de cacahuètes accompagnant le demi sera pour vous le plus sur des alliés. Santé!

  • Chroniques d'un jeune parent : 1 + 1 +1 + ... = ? (part 2)

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    chronique, jeune parent, humour, couches, petit d'homme, rototo, lait caillé, tachesUn petit d’Homme n’a beau peser, en moyenne, que 3,5 Kilos et mesurer 52 centimètres dans les premiers jours de sa vie, il ne faut pas longtemps avant de rendre compte qu’il annexe instantanément le moindre recoin de la vie parentale.  Le siège auto, le couffin, la poussette, le lit permanent, le lit parapluie, le parc, la table à langer, le transat, le bain en plastique, la réserve à couche et l’indispensable poubelle à couche, la chaise haute… la liste est loin d’être exhaustive, et s’étale dans le temps, ce que l’on nomme jouet ne faisant réellement son apparition qu’après quelques mois, au grand dam de l’ordre établi, car rappelons-le, l’enfant est rétif au concept de rangement, que seule l’éducation et la faiblesse de l’âge imposent par différentes techniques. Oui, il est plus facile d’éduquer un petit chat qu’un petit hominidé ! La nature est mal foutu mais elle est ainsi faite, nous aurons l’occasion d’y revenir plus loin ou dans une prochaine chronique certainement intitulée « je me suis encore explosé(e) la voute plantaire sur ce putain de jouet que j’avais pourtant jeté par la fenêtre la veille pour les mêmes raisons ».

    Reprenons. L’enfant prend de la place et pas seulement dans les cœurs. Il va jusqu’à monopoliser la poubelle : ainsi 40 % des déchets ménagers d’une famille avec un enfant de 0 à 2 ans sont constitués de couches. En France, on estime à plus de 2,7 milliards le nombre de couches utilisées par an … ça laisse songeur non ? Pour un enfant seul, en partant du principe qu’il utilise en moyenne et hors accident 5,5 couches par jour, cela donne 2 000 couches par an, sachant qu’une couche vide pèse en moyenne 40 grammes et une couche pleine 200 grammes, ce sont 80 kilos de couches et 320 kilos de déchets qui auront transité entre vos mains sur une année… étonnant non ?

    Mais ce n’est pas tout… Le petit d’Homme, au cours de sa première année, et plus particulièrement durant les six premiers mois (avant la diversification alimentaire pour faire court) ne pourra s’empêcher de régurgiter avec plus ou moins de puissance tout ou partie de son repas, ce que dans le jargon on appelle un gros rototo. Les conséquences sont terribles : bien que la taille des vêtements de l’enfant soit ridicule, la multiplication des changements de bodys, pyjamas, tee-shirts et bavoirs conduit à ce que la machine à laver tourne en permanence, les parents pouvant parfois caser quelques vêtements leur appartenant en propre, entre deux tournées monopolisées par le petiot, l’étendoir toujours chargé de sa récolte du jour. Au passage, l’auteur tient à prévenir que si étendre une machine est une activité que le commun des mortels trouve ennuyeuse et laborieuse, le faire avec des affaires taille mini relève de la torture physique et psychologique. Alors ne vous attendez pas en plus à voir les vêtements des tout-petits repassés. La sagesse populaire dit qu’un bébé sent bon. Il peut, il est changé toutes les deux heures…

    Pour les parents, le rototo mal négocié (c’est-à-dire sans avoir préalablement mis un torchon entre A – la tête de l’enfant, et B – l’épaule dudit parent) se terminera par un juron en constatant les dégâts, un changement expresse de garde-robe et une option de réservation de la machine à laver sur un créneau pas trop éloigné… Mais il y a plus insidieux… La tâche de lait caillé que vous n’avez pas vu, celle qui s’est glissée dans le dos, par-dessus l’épaule et que  vous allez trainer avec vous toute la journée… Un collègue sympathique vous préviendra, vous rougirez les premières fois, puis vous en ferez un atout : le parent est excusé pour sa relative négligence physique : la tâche, c’est compris dans le kit au même titre que les cernes, la barbe de trois jours et l’absence pour cause de maladie infantile…

  • Chronique d'un néo-breton,épisode 19 : que faire le weekend au bout du monde (et accessoirement en soirée, jours fériés et autres temps dits libres)?

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    Chronique, humour, néo-breton, fest noz, sport, alcoolisme loisirs, Si le néo-breton s’est mis au jardinage, il doit bien avouer que la corvée n’occupe guère, fort heureusement, l’intégralité de son temps libre. Il reste assez de place pour faire mille choses qui feront que l’être humain parviendra à finir lessivé et profitera allégrement de sa semaine de travail pour se retaper. A ce point, le chroniqueur arrête tout de suite les mauvaises langues qui imputeraient à la réputation partiellement fondée d’alcooliques invétérés que détiennent les bretons pour justifier cet état de délabrement post-weekend. Primo, le breton boit également en semaine, car la sagesse populaire le précise, l’alcool, c’est comme le formol, ça préserve les chairs, deuzio, la réputation est usurpée, le breton ne boit pas plus qu’un autre, la différence, c’est qu’il l’assume, nuance dont il peut être fier.

    Mais avouons-le sans détour, l’autochtone a le sens de la fête, chaque occasion est bonne pour se retrouver ensemble autour du collectif, de la musique, de la danse et bien entendu, une petite bolée de cidre. Du Fest-noz au Fest-deiz (sur lesquels nous reviendrons dans une prochaine chronique), du festival de l’élevage au festival des Vieilles Charrues, il n’y a pas un weekend, un pont, où la fête n’est pas à l’honneur dans un rayon de trente kilomètres. 

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